Ce n’est pas un secret : nos sociétés doivent impérativement se détourner des énergies fossiles si l’on veut contenir le réchauffement climatique, principal défi de notre siècle, en dessous de +2°C. Dans le secteur des transports, responsable de 22,4% des GES en Belgique en 2016, des innovations séduisantes apparaissent. Voiture autonome, voiture électrique, à hydrogène, etc., tant de nouveautés industrielles qui en enthousiasment plus d’un. La voiture de demain sera plus sûre et écologique, nous dit-on. Est-ce vraiment certain ?
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Notes[+]
↑1 | Site Climat.be. |
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↑2 | Acronyme de Sport Utility Vehicle, croisement entre 4X4 et monospace. |
↑3 | Ibid. |
↑4 | PARIZEL D., Les limites de la voiture électrique, Revue Valériane, 2015. |
↑5 | Il en va de même pour le platine nécessaire aux véhicules à hydrogène. |
↑6 | BIHOUIX Ph. Et DE GUILLEBON, « Quel futur pour les métaux ? », France, 2010, p. 258. |
↑7 | Philippe Bihouix est un ingénieur centralien spécialisé sur les enjeux des métaux. |
↑8 | BIHOUIX Ph. Et DE GUILLEBON, p. 258. |
↑9 | Cité par PITRON Gu., « La guerre des métaux rares », Les liens qui libèrent, 2018. |
↑10 | Voir analyse de Justice et Paix : « Nouveau traité international : l’ONU sera-t-elle enfin en mesure de nous protéger des multinationales ? ». |
↑11 | BIHOUIX Ph., « L’Age des LOW TECH », France, 2014, p.192. |