La Commission Justice et Paix s’est basée sur son expérience d’ONG d’Éducation au Développement et d’association d’éducation permanente pour mettre en évidence trois difficultés (ci-dessous appelées “nœuds”) auxquelles la société civile congolaise doit faire face dans ses relations avec l’État.
Cette analyse a fait l’objet d’une prise de parole publique le 7 juin 2013, lors d’une rencontre organisée par Solidarité Mondiale et réunissant acteurs militants et salariés des mondes associatif et syndical. À l’origine de cette rencontre, une volonté : celle de mettre le “développement en question” et d’ainsi ouvrir le débat sur le travail associatif (en Belgique et dans les pays du Sud) pour construire des pistes d’action pour un “développement juste, inclusif et durable” [1]Nous citons ici le programme de la rencontre. La Commission Justice et Paix s’est basée sur son expérience d’ONG d’Éducation au Développement et d’association d’éducation permanente pour mettre en évidence trois difficultés (ci-dessous appelées “nœuds”) auxquelles la société civile congolaise doit faire face dans ses relations avec l’État : − un plaidoyer politique peut-il être réalisé dans un contexte d’État faible ? − quel pouvoir associatif face aux forces économiques et aux enjeux géostratégiques présents ? − avec quels moyens les associations locales peuvent-elles réaliser leur travail ? Nous avons également souhaité partager quelques pistes de réflexion et d’action qui découlent de notre vision du développement et qui impliquent : la participation active des publics et des partenaires, le rôle actif des publics-cibles avec lesquels nous travaillons et la priorité sur l’action collective. La Commission Justice et Paix s’est basée sur son expérience d’ONG d’Éducation au Développement et d’association d’éducation permanente pour mettre en évidence trois difficultés (ci-dessous appelées “nœuds”) auxquelles la société civile congolaise doit faire face dans ses relations avec l’État : − un plaidoyer politique peut-il être réalisé dans un contexte d’État faible ? − quel pouvoir associatif face aux forces économiques et aux enjeux géostratégiques présents ? − avec quels moyens les associations locales peuvent-elles réaliser leur travail ? Nous avons également souhaité partager quelques pistes de réflexion et d’action qui découlent de notre vision du développement et qui impliquent : la participation active des publics et des partenaires, le rôle actif des publics-cibles avec lesquels nous travaillons et la priorité sur l’action collective.