Le Pérou et la RD Congo, deux pays qui semblent en apparence éloignés à de nombreux points de vue (géographie, régimes politiques, gouvernance, langue, culture, etc.). Pourtant, en y regardant de plus près, l’on se rend compte que le destin de ces pays est marqué par une exploitation comparable des ressources naturelles qui, depuis des siècles, pèse sur les populations indigènes de façon insoutenable.
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Notes[+]
↑1 | L’hévéa est un arbre dont on extrait un latex qui peut ensuite être transformé en caoutchouc. |
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↑2 | VARGAS LLOSA M., Le rêve du Celte |
↑3 | VARGAS LLOSA M., Le rêve du Celte, p. 61. |
↑4 | Roger Casement (1864-1916) est un diplomate britannique de profession et un poète, nationaliste et révolutionnaire irlandais. |
↑5 | Cité dans «Ces forêts qu’on assassine» de Emmanuelle Grundmann, consultable sur Internet. » |
↑6 | Ibid |
↑7 | GRUNDMANNE E., « Ces forêts qu’on assassine », 2007. |
↑8 | Indicateur de Développement Humain : outre le revenu national brut, l’IDH mesure le développement et le bien-être de la population avec des indicateurs tels que l’espérance de vie à la naissance ou le taux de scolarisation des jeunes. |
↑9 | La malédiction des ressources naturelles est une théorie qui postule que les pays abondants en ressources sont maintenus dans la pauvreté. |
↑10 | Le Code minier balise l’espace dans lequel les entreprises minières opèrent, définit les droits et devoirs du gouvernement et des opérateurs du secteur. Il a aussi pour fonction de garantir un cadre juridique stable aux investisseurs et fixe les montants que les entreprises doivent régler à l’État pour extraire les minerais du sous-sol national. |