Le droit à un logement décent est un droit reconnu… reconnu par l’article 23 de la Constitution belge, la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948 (DUDH), ainsi que par le Pacte International relatif aux droits économiques, sociaux et culturels de 1966. Il inclut l’interdiction des expulsions forcées et la reconnaissance d’un logement de qualité comme condition de vie décente. Malgré tout, cela ne signifie pas pour autant que ce droit soit appliqué dans les faits.
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Notes[+]
↑1 | Dans la continuité du travail réalisé par la Commission Justice et Paix Namur depuis plusieurs années dans un plaidoyer vis-à-vis des milieux politiques et ecclésiaux, cette analyse est le résultat d’un travail de plusieurs mois, alimenté par les études de l’économiste Philippe Defeyt et d’autres analystes (Christine Steinbach de la Fondation Travail Université et David Praile, du Rassemblement Wallon pour le Droit à l’Habitat) rencontrés dans le cadre des débats organisés par le MOC Namur. Certaines analyses et réflexions concernent au départ les réalités namuroises ; la plupart sont validées pour l’ensemble de la Région Wallonne et Bruxelles-Capitale. |
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↑2 | Voir l’article de la revue « Durable » sur le sujet. |
↑3 | Le ménage n’est pas propriétaire du sol et la valeur ajoutée en cas de départ revient en partie à la structure qui organise le CLT. |
↑4 | Propos recueillis dans le cadre du débat organisé le 30 avril 2019 par la fédération du MOC de Namur et par la lecture des programmes électoraux. |