Il n’existe pas un mouvement féministe, mais un panel de déclinaisons… Comment concilier les différences, parfois flagrantes, entre les différents combats européens et africains ? Il semble aujourd’hui primordial de chercher les dénominateurs communs et voir comment ces féminismes peuvent s’inspirer et se renforcer mutuellement.
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Notes[+]
↑1 | Degavre, « Diversité des féminismes », Pensées féministes, 2008. |
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↑2 | Ibid. |
↑3 | Ibid. |
↑4 | Ibid. |
↑5 | Des exemples sont : Women of Liberia Mass Action for Peace de la militante libérienne Leymah Gbowee (2003), le Réseau Paix et Sécurité pour les Femmes de l’Espace CEDEAO (REPSFECO). |
↑6 | Tels AKILI DADA au Kenya, le Fonds Africain pour le Développement de la Femme (AWDF) ou Women in Africa. |
↑7 | Tels CODESRIA (Council for the Development of Social Science Research in Africa) au Sénégal et le Gender Research and Documentation Centre au Sierra Leone. |
↑8 | Tel ABANTU for Development au Nigeria et le Centre de la CEDEAO pour le Développement du Genre (CCDG). |
↑9 | The African Women’s Development and Communication Network (FEMNET). |
↑10 | « Autonomiser les femmes africaines – Indice de l’égalité du genre en Afrique 2015. |
↑11 | Selon le concept d’intersectionnalité, formulé pour la première fois en 1989 par la féministe afro-américaine Kimberlé Crenshaw, les différentes formes d’oppression doivent être considérées conjointement, en établissant un lien entre discriminations sur base raciale et de genre. “Black feminism and intersectionality”, International Socialist Review, 2013. |